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A l'approche des deux ans du lancement du Contrat d'engagement jeune, le Conseil d’orientation des politiques de jeunesse, ainsi que la Fédération des acteurs de la solidarité ont réalisé des rapports d'évaluation de la mise en œuvre dans les territoires. Le COJ a réalisé un rapport d'étape sur le CEJ de manière globale et la FAS un rapport intermédiaire de leur recherche-action CEJ-Jeunes en rupture, en partenariat avec l'Agence nouvelle des solidarités actives. A retrouver ici : deux articles d'AEF à ce sujet, publiés avec leur aimable autorisation.
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Le COJ (Conseil d’orientation des politiques de jeunesse) a remis au gouvernement, jeudi 8 février 2024, son deuxième rapport d’étape sur le Contrat d’engagement jeune. 39 recommandations pour « améliorer rapidement ce dispositif au bénéfice des jeunes et des professionnels ». Le Conseil propose « d’assouplir et d’adapter » les heures d’activités hebdomadaires obligatoires que doivent réaliser les bénéficiaires de ce dispositif en contrepartie d’un accompagnement renforcé vers l’accès à l’emploi. Il souhaite aussi rendre le CEJ « plus visible » pour lutter contre le non-recours.
« Le gouvernement doit encore tenir ses promesses » pour les jeunes en situation de grande vulnérabilité, déclare la FAS (Fédération des acteurs de la solidarité), le 8 février 2024. L’association publie un bilan intermédiaire de sa recherche-action sur le CEJ (Contrat d’engagement jeune) et son volet « Jeunes en rupture ». Ce rapport montre que ce dispositif est une « opportunité inédite » pour le développement de coopérations territoriales en faveur des jeunes. Mais les conclusions de l’étude mettent aussi en évidence des « éléments contrastés » sur la temporalité, la gouvernance ou le pilotage.
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févr.
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